Le “botellón” est déjà une habitude espagnole chez les jeunes. Il consiste à se réunir avec les amis dans un parc ou une place pour boire. Pour les jeunes est une façon de s'amuser, de connaître des personnes, de passer la nuit. Principalement y vont les jeunes d'entre seize et vingt-cinq ans. La cause de ce phénomène est l'argent. Selon les jeunes, il est très cher de passer la nuit dans un bar. En plus, le nombre de personnes dans les bars est limité. Au début, le “botellón” a été une ressource pour les jeunes avec peu d'argent, mais maintenant s'est généralisé en toutes les villes. Aujourd'hui les jeunes font le “botellón” tous les week-ends. Ils en savent pas se contrôler, boivent et boivent sans modération. La manière de fêter un anniversaire, une fête nationale, l'arrivée du printemps, etc... c'est en buvant. En plus de la santé des jaunes, il y a aussi d'autres problèmes comme le bruit, la saleté, les bagarres,...Les voisins se plaignent de ces conséquences. Beaucoup de buveurs utilisent ces réunions pour s'affronter à d'autres et les bagarres peuvent finir en tragédie. En outre, les jeunes ne ramassent jamais les ordures ni les emballages. Après un “botellón” les services de propreté doivent faire un dur travail. Dans d'autres pays, les jeunes font aussi la “botellona”. En France, par exemple, de plus en plus les jeunes se donnent rendez-vous pour boire. La presse française fait responsables aux élèves Erasmus espagnols. Le gouvernement espagnol applique des lois “antibotellón” comme par exemple, sactionner les mineurs qui consomment de l'alcool dans la voie plublique, mais je crois que la police devrait contrôler plus les locaux qui vendent de l'alcool aux mineurs. Ils sont les principaux coupables deu “botellón”. Le responsable de ce phénomène est aussi le gouvernement. Il pourrait offrir aux jeunes des alternatives comme des cinémas, des fêtes sans alcool, des compétitions de sport,... Et pour les villes où les jeunes refusent d'arrêter de boire dans la rue, la solutions serait un “botellódromo” qui est un lieu oú les buveurs peuvent se réunir pour boire légalement. Là, ils ne font pas de mal aux voisins. Pour finir, je suis d'accord avec le “botellón” si cela se fait dans un “botellódromo”. Je crois que, bien que le gouvernement applique des lois contre le “botellón” cette habitude en finira jamais.
María Villar Llamas. 1º Bach. Première promotion bilingue.
Les madrilènes ne pourront plus boire sur la voie publique
Malgré mon jeune âge, je pense que cette habitude du “botellón” nuit à nous tous et aussi à notre pays. Chaque fois que les jeunes font le “botellón” mettent leur vie en danger parce que beaucoup de jeunes prennent la voiture après boire et aussi, à cause des effets de l'alcool, il y a de nombreuses disputes où leur vie est en danger. Aussi, beaucoup de jeunes étrangers qui viennent en Espagne sont morts à cause de l'alcool. Par exemple, un jeune est mort le vingt-trois Mars à Séville dans le “macrobotellón”. Ce jeune est mort poignardé dans une bagarre et aussi, l'alcool a causé plus de sept cent mille morts dans tout le monde l'année dernière. À mon avis, en général, la seule distraction des jeunes est le “botellón”, la boîte et la fête. Par exemple, la plupart des ni-ni ne pensent qu'à faire la fête et à gaspiller de l'argent. Les conséquences du “botellón” sont: des bagarres, des accidents de voiture ou de moto (un sur trois accidents est dû à l'alcool), des personnes malades, des dégâts, du bruit et de la saleté (des bouteilles, des verres par terre,...). Les alternatives que je propose sont:
plus de surveillance, parce qu'il est interdit de vendre de l'alcool aux mineurs, mais à Estepa, il y a des personnes qui le vendent. Moi, personnellement, j'ai acheté de l'alcool il y a deux ou trois ans et j'étais encore très jeunes; Sactionner les épiceries, les bazars vendant de l'alcool aux jeunes et les parents des mineurs; Poser les photos choquantes des accidents et des malades à cause de l'alcool et d'autres drogues sur chaque bouteille d'alcool comme on fait pour le tabac. Interdire l'entrée des mineurs aux pubs et faire des pubs pour mineurs où il n'y ait pas d'alcool.
Pour conclure, je suis contre le “botellón” et contre la consommation de tout type de drogues.
María Martín Díaz, 1º Bach. Première promotion bilingue.
Le “botellón” ou la “botellona”
RépondreSupprimerLe “botellón” est déjà une habitude espagnole chez les jeunes. Il consiste à se réunir avec les amis dans un parc ou une place pour boire.
Pour les jeunes est une façon de s'amuser, de connaître des personnes, de passer la nuit. Principalement y vont les jeunes d'entre seize et vingt-cinq ans.
La cause de ce phénomène est l'argent. Selon les jeunes, il est très cher de passer la nuit dans un bar. En plus, le nombre de personnes dans les bars est limité. Au début, le “botellón” a été une ressource pour les jeunes avec peu d'argent, mais maintenant s'est généralisé en toutes les villes. Aujourd'hui les jeunes font le “botellón” tous les week-ends. Ils en savent pas se contrôler, boivent et boivent sans modération. La manière de fêter un anniversaire, une fête nationale, l'arrivée du printemps, etc... c'est en buvant.
En plus de la santé des jaunes, il y a aussi d'autres problèmes comme le bruit, la saleté, les bagarres,...Les voisins se plaignent de ces conséquences. Beaucoup de buveurs utilisent ces réunions pour s'affronter à d'autres et les bagarres peuvent finir en tragédie. En outre, les jeunes ne ramassent jamais les ordures ni les emballages. Après un “botellón” les services de propreté doivent faire un dur travail.
Dans d'autres pays, les jeunes font aussi la “botellona”. En France, par exemple, de plus en plus les jeunes se donnent rendez-vous pour boire. La presse française fait responsables aux élèves Erasmus espagnols.
Le gouvernement espagnol applique des lois “antibotellón” comme par exemple, sactionner les mineurs qui consomment de l'alcool dans la voie plublique, mais je crois que la police devrait contrôler plus les locaux qui vendent de l'alcool aux mineurs. Ils sont les principaux coupables deu “botellón”. Le responsable de ce phénomène est aussi le gouvernement. Il pourrait offrir aux jeunes des alternatives comme des cinémas, des fêtes sans alcool, des compétitions de sport,... Et pour les villes où les jeunes refusent d'arrêter de boire dans la rue, la solutions serait un “botellódromo” qui est un lieu oú les buveurs peuvent se réunir pour boire légalement. Là, ils ne font pas de mal aux voisins.
Pour finir, je suis d'accord avec le “botellón” si cela se fait dans un “botellódromo”. Je crois que, bien que le gouvernement applique des lois contre le “botellón” cette habitude en finira jamais.
María Villar Llamas. 1º Bach. Première promotion bilingue.
Les madrilènes ne pourront plus boire sur la voie publique
RépondreSupprimerMalgré mon jeune âge, je pense que cette habitude du “botellón” nuit à nous tous et aussi à notre pays.
Chaque fois que les jeunes font le “botellón” mettent leur vie en danger parce que beaucoup de jeunes prennent la voiture après boire et aussi, à cause des effets de l'alcool, il y a de nombreuses disputes où leur vie est en danger.
Aussi, beaucoup de jeunes étrangers qui viennent en Espagne sont morts à cause de l'alcool. Par exemple, un jeune est mort le vingt-trois Mars à Séville dans le “macrobotellón”. Ce jeune est mort poignardé dans une bagarre et aussi, l'alcool a causé plus de sept cent mille morts dans tout le monde l'année dernière.
À mon avis, en général, la seule distraction des jeunes est le “botellón”, la boîte et la fête. Par exemple, la plupart des ni-ni ne pensent qu'à faire la fête et à gaspiller de l'argent.
Les conséquences du “botellón” sont: des bagarres, des accidents de voiture ou de moto (un sur trois accidents est dû à l'alcool), des personnes malades, des dégâts, du bruit et de la saleté (des bouteilles, des verres par terre,...).
Les alternatives que je propose sont:
plus de surveillance, parce qu'il est interdit de vendre de l'alcool aux mineurs, mais à Estepa, il y a des personnes qui le vendent. Moi, personnellement, j'ai acheté de l'alcool il y a deux ou trois ans et j'étais encore très jeunes;
Sactionner les épiceries, les bazars vendant de l'alcool aux jeunes et les parents des mineurs;
Poser les photos choquantes des accidents et des malades à cause de l'alcool et d'autres drogues sur chaque bouteille d'alcool comme on fait pour le tabac.
Interdire l'entrée des mineurs aux pubs et faire des pubs pour mineurs où il n'y ait pas d'alcool.
Pour conclure, je suis contre le “botellón” et contre la consommation de tout type de drogues.
María Martín Díaz, 1º Bach. Première promotion bilingue.